Un conte de printemps, aux odeurs de forêt et de terre humide, où les premiers émois amoureux ouvrent les possibles.
Ce soir, c’est le grand bal pour célébrer le retour du printemps. Tout le village s’est réuni à la lisière de la forêt. La jeune Valborg y retrouve ses copines Kari et Siss, son ami d’enfance Björn, sa petite bande. Tout le monde s’amuse, danse, malgré une petite pluie fine rafraîchissante. Mais cette nuit-là, Valborg et ses copines vont découvrir la délicate naissance du désir amoureux. Quelque chose de vivant et de magique. Comme un rite de passage entre l’enfance et l’entrée délicate dans l’âge adulte. Alain Batis porte à la scène l’écriture sensorielle du poète et romancier norvégien Tarjeï Vesaas, dont l’œuvre cherche à exprimer l’indicible, l’insaisissable, le fragile. Comme ce conte de printemps aux paysages sonores et intuitifs. Des voix dans la nuit, des chuchotements, la sonnette d’un vélo, des odeurs de forêt et de terre humide pour dire ce qui émane des corps, les pulsations, les palpitations, les incompréhensions.
PRESSE
Alain Batis possède un art unique pour nous faire comprendre la complexité des êtres et du monde. – Armelle Héliot, Marianne
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Alain Batis possède un art unique pour nous faire comprendre la complexité des êtres et du monde. – Armelle Héliot, Marianne
