Les Chiens de Navarre sont de retour avec leur humour féroce, leur anticonformisme, leur insolence et la folie qu’on leur connait.
Fidèle à son insolence et son humour, la compagnie emmenée par Jean-Christophe Meurisse convoque sur scène un tribunal et des bribes de vie quotidienne de ses protagonistes.
Ils imaginent deux grands procès, inspirés de faits réels, deux histoires qui se croisent indirectement. Un humoriste célèbre a raconté une blague sur les violences faites aux femmes dans sa chronique quotidienne sur une station de radio populaire. Une femme a tué son mari après avoir subi de sa part durant des années des violences physiques et sexuelles. Deux affaires qui enflamment tout un pays.
Magistrats, avocats, accusés, victimes ou témoins sont précipités dans une comédie grinçante, au coeur d’une institution aux prises avec les grands sujets de notre époque. I will survive est ainsi traversée par deux procès inspirés d’affaires réelles, mettant en jeu des réponses aux violences sexistes. Ce qui est légal est-il toujours juste ? Pour répondre à cette question, la troupe active sa méthode d’écriture collective qui laisse une large place à l’improvisation, promesse de beaux dérapages contrôlés.
La machine judiciaire, conduite par cette troupe de joyeux provocateurs, fera apparaître les contradictions et les tourments de notre société. Les procès finissent toujours par celui de la justice…
Ils imaginent deux grands procès, inspirés de faits réels, deux histoires qui se croisent indirectement. Un humoriste célèbre a raconté une blague sur les violences faites aux femmes dans sa chronique quotidienne sur une station de radio populaire. Une femme a tué son mari après avoir subi de sa part durant des années des violences physiques et sexuelles. Deux affaires qui enflamment tout un pays.
Magistrats, avocats, accusés, victimes ou témoins sont précipités dans une comédie grinçante, au coeur d’une institution aux prises avec les grands sujets de notre époque. I will survive est ainsi traversée par deux procès inspirés d’affaires réelles, mettant en jeu des réponses aux violences sexistes. Ce qui est légal est-il toujours juste ? Pour répondre à cette question, la troupe active sa méthode d’écriture collective qui laisse une large place à l’improvisation, promesse de beaux dérapages contrôlés.
La machine judiciaire, conduite par cette troupe de joyeux provocateurs, fera apparaître les contradictions et les tourments de notre société. Les procès finissent toujours par celui de la justice…
