Rabuh Abou-Khalil fait de plus 40 ans l'équilibriste entre deux monde. Et aujourd'hui il revient avec deux virtuoses polonais violoncelle. Il fait appel à l’incroyable chanteuse de jazz Elina Duni pour se joindre à eux et partager cette envolée musicale.
Voilà plus de quarante ans qu’il fait figure d’équilibriste, sur le fil entre deux mondes, deux états pour un imaginaire fécond. Et c’est avec des « cordes » qu’il revient aujourd’hui, une constante dans son oeuvre bien sûr, mais ici avec deux virtuoses polonais de haut vol : Mateusz Smoczynski au violon et Krzysztof Lenczowski au violoncelle. Jarrod Cagwin, fidèle gardien du tempo assurera les arrières, pour un concert sous le signe de la vigueur et de l’éternel recommencement. Pour la clôture du festival JazzContreBand, il fait appel à l’incroyable chanteuse de jazz helvético-albanaise Elina Duni pour se joindre à eux et partager cette envolée musicale.