Le quatuor à cordes a toujours été un laboratoire d’expérimentation pour les compositeurs, qui y ont exploité leurs idées les plus audacieuses.
Ce programme met en avant l’évolution du genre à travers des œuvres marquantes, chacune témoignant d’un tournant dans l’histoire de la musique. Mozart, Beethoven et Ravel : trois visions, trois époques pour un dialogue entre tradition et modernité.
Le quatuor à cordes est un territoire à part dans la musique occidentale. On ne peut pas tricher avec lui, ni dans l’écriture ni dans l’interprétation, où quatre voix solistes prennent une dimension orchestrale, le tout sans chef. Tout se déroule dans l’art du contrepoint et de la polyphonie, sans possibilité d’enrobage ni de doublages superflus. L’interprétation se met en place dans la discussion entre les musiciens, qui choisissent entre eux la vision idéale de leur exécution. La soirée concoctée par le Quatuor Agate traverse l’œuvre de trois célèbres compositeurs. Mozart illustre la clarté du classicisme viennois. Beethoven bouscule les conventions avec une intensité préromantique et amorce la transformation du genre. Ravel porte le raffinement harmonique, la sensualité des timbres et la richesse de l’écriture à leur paroxysme.
Le quatuor à cordes est un territoire à part dans la musique occidentale. On ne peut pas tricher avec lui, ni dans l’écriture ni dans l’interprétation, où quatre voix solistes prennent une dimension orchestrale, le tout sans chef. Tout se déroule dans l’art du contrepoint et de la polyphonie, sans possibilité d’enrobage ni de doublages superflus. L’interprétation se met en place dans la discussion entre les musiciens, qui choisissent entre eux la vision idéale de leur exécution. La soirée concoctée par le Quatuor Agate traverse l’œuvre de trois célèbres compositeurs. Mozart illustre la clarté du classicisme viennois. Beethoven bouscule les conventions avec une intensité préromantique et amorce la transformation du genre. Ravel porte le raffinement harmonique, la sensualité des timbres et la richesse de l’écriture à leur paroxysme.