Cette exposition temporaire installée à la Maison de la Jaÿsinia, au pied du Jardin botanique alpin, retrace la vie fascinante de Marie‑Louise Cognacq‑Jaÿ, originaire de Samoëns.
L'exposition met en lumière le parcours de Marie-Louise Cognacq‑Jaÿ (1838–1925), depuis ses humbles débuts dans le hameau du Villard jusqu’à la création du grand magasin La Samaritaine à Paris, et son engagement philanthropique et local, notamment la fondation du Jardin botanique alpin La Jaÿsinia.
Installée dans la maison d’accueil du jardin La Jaÿsinia, cette exposition éphémère se présente comme un hommage vivant à l'une des figures les plus emblématiques de Samoëns. De vendeuse dans une petite boutique à Paris, Marie-Louise Cognacq‑Jaÿ devient cofondatrice, avec son époux Ernest Cognacq, du célèbre magasin La Samaritaine. L’exposition explore également son œuvre d’après‑vente : la création du jardin botanique alpin La Jaÿsinia, érigé en 1906 sur l’emplacement où elle gardait autrefois des chèvres.
Ce jardin devient un lieu scientifique, paysager et solidaire, offert à la commune et géré avec le soutien du Muséum national d’Histoire naturelle. On y trouve aussi des documents inédits, réunis notamment par Michel Gaudin (auteur) et Alain Lachaud (historien local), qui témoignent de sa vie, de ses engagements philanthropiques (comme la création de maternités, de pouponnats, de colonies de vacances, ou encore d’une fondation d’intérêt public dès 1916), et de son attachement à sa région d’origine.
Installée dans la maison d’accueil du jardin La Jaÿsinia, cette exposition éphémère se présente comme un hommage vivant à l'une des figures les plus emblématiques de Samoëns. De vendeuse dans une petite boutique à Paris, Marie-Louise Cognacq‑Jaÿ devient cofondatrice, avec son époux Ernest Cognacq, du célèbre magasin La Samaritaine. L’exposition explore également son œuvre d’après‑vente : la création du jardin botanique alpin La Jaÿsinia, érigé en 1906 sur l’emplacement où elle gardait autrefois des chèvres.
Ce jardin devient un lieu scientifique, paysager et solidaire, offert à la commune et géré avec le soutien du Muséum national d’Histoire naturelle. On y trouve aussi des documents inédits, réunis notamment par Michel Gaudin (auteur) et Alain Lachaud (historien local), qui témoignent de sa vie, de ses engagements philanthropiques (comme la création de maternités, de pouponnats, de colonies de vacances, ou encore d’une fondation d’intérêt public dès 1916), et de son attachement à sa région d’origine.
