Après l'exposition de 2022, David Marin investit de nouveau l'espace de la Cour de l'Abbaye avec ses travaux les plus récents centrés sur le paysage.
Face à la violence du comportement inconsidéré des hommes, il interroge la fragilité de notre environnement et son pouvoir de résilience. Se jouant des échelles, il met à l'honneur l'insignifiant comme le monumental. Les paysages se déploient, s'arpentent, s'inventent. On retrouve un travail en tension, entre douceur et noirceur, ampleur du geste et précision du trait, subtil équilibre qui sous-tend tout son travail.

