Exposition de photographies noir et blanc.
Exposition organisée par l'association Criou livres.
Exposition organisée par l'association Criou livres.
Jean-Pierre Verrue est né en 1949 en banlieue Lilloise. Photographe passionné, il a fait de sa passion son métier, se formant à la prestigieuse Institution Saint Luc de Tournay en Belgique.
Dans les années 70, il crée à Lille une société de photographie qui deviendra l’une des plus importantes du nord de la France : Obert & Verrue. Lorsque l’heure de la photographie numérique a sonnée, Jean-Pierre Verrue se forme à nouveau à l’université de Lille.
Installé depuis plusieurs années dans nos vallées, il continue de faire son miel de tout ce qui attire son regard ; il est toujours heureux de partager son travail.
Étienne et moi [extrait du manifeste de l’exposition, par Olivier Sirven]
Étienne a 20 ans. Il fait la guerre. Sa guerre. Il a été patriote et résistant pendant la guerre civile Espagnole. Là-bas, on l’appelait Esteban.
Jean-Pierre a 10 ans. Il se souvient encore de ce jour où Huguette est apparue à la porte de la maison de ses parents à Mons en Baroeul. Peut-être devinait-il déjà que cette femme et son mari Étienne allaient l’accompagner tout au long de sa vie ?
Jean-Pierre a plus de 70 ans. Il a toujours gardé près de lui ce classeur noir qui contient des textes et des photos. Il avait, lui aussi, à peine 20 ans lorsque, élève photographe à l’école Saint-Luc de Tournai en Belgique, il a réalisé ce travail photographique sur Étienne.
Ces regards croisés au travers des âges, ne peuvent laisser indifférent.
Jean-Pierre a pris Étienne en photo dans des lieux familiers : la maison de ses parents,
l’appartement HLM d’Étienne et d'Huguette. On y voit des objets du patrimoine familial : une lampe des années cinquante, un tourne-disque, un canapé. On y voit aussi un morceau de tableau accroché au-dessus du canapé, un tableau que Jean-Pierre avait peint lui-même alors qu’il était jeune artiste à Saint Luc.
Tous ces éléments de mémoire en kaléidoscope, se regroupent pour former une image mentale retournée, vivante, que nous propose aujourd’hui Jean-Pierre.
Les prises de vues se sont étalées sur trois mois, de septembre à décembre 1967. Six rouleaux de pellicules ont été consommés. Jean-Pierre les a retrouvés, numérisés et les présente aujourd’hui en grand format, avec les textes originaux.
Sans réservation
Dans les années 70, il crée à Lille une société de photographie qui deviendra l’une des plus importantes du nord de la France : Obert & Verrue. Lorsque l’heure de la photographie numérique a sonnée, Jean-Pierre Verrue se forme à nouveau à l’université de Lille.
Installé depuis plusieurs années dans nos vallées, il continue de faire son miel de tout ce qui attire son regard ; il est toujours heureux de partager son travail.
Étienne et moi [extrait du manifeste de l’exposition, par Olivier Sirven]
Étienne a 20 ans. Il fait la guerre. Sa guerre. Il a été patriote et résistant pendant la guerre civile Espagnole. Là-bas, on l’appelait Esteban.
Jean-Pierre a 10 ans. Il se souvient encore de ce jour où Huguette est apparue à la porte de la maison de ses parents à Mons en Baroeul. Peut-être devinait-il déjà que cette femme et son mari Étienne allaient l’accompagner tout au long de sa vie ?
Jean-Pierre a plus de 70 ans. Il a toujours gardé près de lui ce classeur noir qui contient des textes et des photos. Il avait, lui aussi, à peine 20 ans lorsque, élève photographe à l’école Saint-Luc de Tournai en Belgique, il a réalisé ce travail photographique sur Étienne.
Ces regards croisés au travers des âges, ne peuvent laisser indifférent.
Jean-Pierre a pris Étienne en photo dans des lieux familiers : la maison de ses parents,
l’appartement HLM d’Étienne et d'Huguette. On y voit des objets du patrimoine familial : une lampe des années cinquante, un tourne-disque, un canapé. On y voit aussi un morceau de tableau accroché au-dessus du canapé, un tableau que Jean-Pierre avait peint lui-même alors qu’il était jeune artiste à Saint Luc.
Tous ces éléments de mémoire en kaléidoscope, se regroupent pour former une image mentale retournée, vivante, que nous propose aujourd’hui Jean-Pierre.
Les prises de vues se sont étalées sur trois mois, de septembre à décembre 1967. Six rouleaux de pellicules ont été consommés. Jean-Pierre les a retrouvés, numérisés et les présente aujourd’hui en grand format, avec les textes originaux.
Sans réservation