La Commanderie des Bois avait été établie pour gérer les biens de l'abbaye
cistercienne de Filly créée en 1228. Elle a appartenu à l'ordre hospitalier savoyard de Saint Maurice et Lazare qui était au départ un ordre militaire constitué en 1512.
cistercienne de Filly créée en 1228. Elle a appartenu à l'ordre hospitalier savoyard de Saint Maurice et Lazare qui était au départ un ordre militaire constitué en 1512.
Filly est située sur la rive sud du Léman par où, vers 1600, passaient les pèlerins
catholiques du Valais et du Haut-Chablais désireux d'éviter le Genevois protestant. Une inscription de 1605 accompagnée d’une coquille sculptée sur la façade d’entrée d’une maison témoigne de l’histoire de Filly, intimement liée à son abbaye. Du site religieux, il ne reste rien. Mais plusieurs demeures en pierre, aujourd’hui propriétés privées, habillent l’entrée du hameau depuis la route départementale. « Ces bâtiments constituaient la commanderie de la Côte de Bois, fondée par l’ordre de Saint-Maurice et Lazare. C’est cette commanderie qui gérait les biens de l’abbaye de Filly. On est au début du XVIIe siècle », explique la Sciezoise face à l’imposante voûte d’entrée d’une des propriétés. « Le site est vendu comme bien national pendant la Révolution. Trois familles de Filly ainsi qu’une autre originaire du Lyaud acquièrent les différentes maisons. »
catholiques du Valais et du Haut-Chablais désireux d'éviter le Genevois protestant. Une inscription de 1605 accompagnée d’une coquille sculptée sur la façade d’entrée d’une maison témoigne de l’histoire de Filly, intimement liée à son abbaye. Du site religieux, il ne reste rien. Mais plusieurs demeures en pierre, aujourd’hui propriétés privées, habillent l’entrée du hameau depuis la route départementale. « Ces bâtiments constituaient la commanderie de la Côte de Bois, fondée par l’ordre de Saint-Maurice et Lazare. C’est cette commanderie qui gérait les biens de l’abbaye de Filly. On est au début du XVIIe siècle », explique la Sciezoise face à l’imposante voûte d’entrée d’une des propriétés. « Le site est vendu comme bien national pendant la Révolution. Trois familles de Filly ainsi qu’une autre originaire du Lyaud acquièrent les différentes maisons. »
