La Chapelle du Calvaire a une histoire qui remonte à plusieurs siècles. Un beau panorama sur le lac du Môle et les montagnes du Giffre récompense les visiteurs qui empruntent le sentier et le chemin de croix qui mènent à la chapelle, érigée sur une bute.
A l'origine, la colline du Calvaire était herbeuse et ne portait rien en son sommet, pas même quelques sapins (plantés en 1901). Son nom changea au fil du temps : Petit Môle, la Forteresse, le Pain de Sucre ou encore Tour du Guidon.
Sur l'idée du Curé de Bonnaz, une chapelle dédiée à Notre-Dame des Sept Douleurs y fut construite dans un style néo-gothique et inaugurée le 15 septembre 1889, soit 1 ans environ après la fin de la construction du chemin de croix. Sur la quatorzième station de ce dernier, une date bien visible permet de fixer la fin des travaux en 1878. Si trois stations ont été édifiées grâce aux dons des paroissiens, les onze autres l'ont été par des familles de la région. Ainsi, chaque année, le troisième dimanche de septembre donnait lieu à un pèlerinage qui montait jusqu'à la chapelle.
Son édification a demandé à ce que l'on transporte les matériaux à dos d'âne. Au fil des ans, la chapelle a subi plusieurs phases de réparations dont la première eut lieu en 1910-1911. Pour son cinquantenaire, le clocher fut refait à neuf et le toit fut couvert d'ardoises en 1971.
Sur l'idée du Curé de Bonnaz, une chapelle dédiée à Notre-Dame des Sept Douleurs y fut construite dans un style néo-gothique et inaugurée le 15 septembre 1889, soit 1 ans environ après la fin de la construction du chemin de croix. Sur la quatorzième station de ce dernier, une date bien visible permet de fixer la fin des travaux en 1878. Si trois stations ont été édifiées grâce aux dons des paroissiens, les onze autres l'ont été par des familles de la région. Ainsi, chaque année, le troisième dimanche de septembre donnait lieu à un pèlerinage qui montait jusqu'à la chapelle.
Son édification a demandé à ce que l'on transporte les matériaux à dos d'âne. Au fil des ans, la chapelle a subi plusieurs phases de réparations dont la première eut lieu en 1910-1911. Pour son cinquantenaire, le clocher fut refait à neuf et le toit fut couvert d'ardoises en 1971.
