C’est un tourbillon qu’orchestre Marco da Silva Ferreira, où mouvement, musique, lumières et costumes produisent de la dopamine à forte dose.
Le chorégraphe portugais réinvente les danses traditionnelles en y apportant l’énergie de la pop et du hip-hop, dans un esprit festif, militant et libérateur.
Rien n’est improvisé dans la chorégraphie de Marco da Silva Ferreira, même s’il s’agit d’invoquer les génies de la danse au moyen de celles qui se pratiquent par tous et n’importe où, à une fête, dans un club ou même dans la rue. Dix danseurs et deux musiciens nous invitent à un bœuf, s’encourageant mutuellement à déployer tout un vocabulaire de styles et de caractères empruntés au folklore portugais, pour les dynamiser au son des percussions et des musiques électroniques. La plupart de ces danseurs sont d’origine afro-américaine et sont imprégnés de culture hip-hop. De la transe funk à la gestuelle voguing, du jeu de jambes virtuose à la revendication militante, et jusqu’à un hymne chanté en chœur poing levé, ce corps de ballet revisité dans une ambiance clubbing s’impose comme un choc visuel et musical, un manifeste de tous les combats.
Rien n’est improvisé dans la chorégraphie de Marco da Silva Ferreira, même s’il s’agit d’invoquer les génies de la danse au moyen de celles qui se pratiquent par tous et n’importe où, à une fête, dans un club ou même dans la rue. Dix danseurs et deux musiciens nous invitent à un bœuf, s’encourageant mutuellement à déployer tout un vocabulaire de styles et de caractères empruntés au folklore portugais, pour les dynamiser au son des percussions et des musiques électroniques. La plupart de ces danseurs sont d’origine afro-américaine et sont imprégnés de culture hip-hop. De la transe funk à la gestuelle voguing, du jeu de jambes virtuose à la revendication militante, et jusqu’à un hymne chanté en chœur poing levé, ce corps de ballet revisité dans une ambiance clubbing s’impose comme un choc visuel et musical, un manifeste de tous les combats.